Dimanche 17 mai : moments d’accueil officiels
→Culte du festival
Au temple de l’Eglise protestante unie, avec les trois jurés protestants d’interfilm
En même temps, la messe du Festival a lieu à l’église Notre-Dame-de-bon-voyage avec les trois jurés catholiques de Signis
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Culte présidé par le pasteur Paolo Morlacchetti, de l’Eglise protestante unie de Cannes – Prédication du pasteur Georges Michel, secrétaire général de la Fédération protestante de France – Présentation des jurés et des rendez-vous du jury oecuménique par la présidente d’Interfilm, pasteur Denyse Muller |
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L’église et le temple
étant dans la même
rue, la tradition veut
qu’elle soit “rue
barrée” à la sortie du
culte et de la messe
pour le partage du
verre de l’amitié |
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→Réception buffet
avec les autorités
religieuses et
municipales sur le
stand du Jury
oecuménique au
Palais des festivals |
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→Montée des marches
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Rendez-vous du Jury oecuménique, et invités pour la montée
officielle des marches ! |
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Les jurés : |
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De gauche à droite : Jolyon Mitchell (Royaume Uni-Interfilm),
Marie-Nicole Courboules (France-Signis), Chiara Fortuna (Italie-
Signis), Barbara Lorey de La charriere (France-Interfilm,
présidente), Jonathan Guilbault (Canada-Signis), Pasteur Andrew
Johnston (Canada-Interfilm) |
Mercredi 20 mai :
→Célébration oecuménique
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à l’église anglicane Holy Trinity
à Cannes |
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Avec les officiants des Eglises anglicane, catholique et protestantes de Cannes. |
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De gauche à droite : pasteur Jean-François Comba (Eglise
évangélique libre), pasteur Giles Williams (Eglise anglicane),
pasteur Paolo Morlacchetti (Eglise protrestante unie), père
Jean Gautheron (Curé de Cannes)
Et l’évêque de Nice
Mgr André Marceau,
invité, pour la
prédication.
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Jos Horemans, président de Signis donne la parole aux jurés |
→Réception par la Ville de Cannes
Le Maire de Cannes, David Lisnard a reçu, la veille, en mairie le jury oecuménique.
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Discours officiels du pasteur Denyse Muller et de M.Alain Ramy, adjoint au Maire de Cannes, délégué aux cultes, suivis de rencontres autour d’un apéritif offert par la Ville de Cannes |
Samedi 23 mai :
→Remise du prix du jury oecuménique
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Salle des
ambassadeurs |
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Jos Horeman
appelle les
jurés pour
qu’ils
annoncent
leurs
décisions |
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Deux mentions spéciales
Le prix du jury oecuménique
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Prix du jury au film Mia Madre de Nanni Moretti (Italie)
Pour sa maîtrise et son exploration fine et élégante, imprégnée d’humour, de thèmes essentiels
dont les différents deuils auxquels la vie nous confronte. |
Un autre regard : celui de la coordinatrice du jury Echos du jury oecuménique au festival de Cannes 2015
A propos des films choisis par les jurés
Mentions spéciales
Taklub
de Brillante Mendoza (Philippine) |
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Après le passage du Typhon Hayan qui a dévasté la ville de Tacloban aux Philippines, les vies de Bebeth, Larry et Erwin s’entrelacent. Les survivants recherchent les corps des défunts, tout en protégeant leur propre vie et en conservant le peu de foi qui reste. Une série d’évènements continue de tester leur endurance. |
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La Loi du marché
de Stéphane Brizé (France) |
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À 51 ans, après 20 mois de chômage, Thierry commence un nouveau travail qui le met bientôt face à un dilemme moral.
Pour garder son emploi, peut-il tout accepter ?
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Le prix du jury oecuménique
Mia madre de Nanni Moretti (Italie) |
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Margherita est une réalisatrice en plein tournage
d’un film dont le rôle principal est tenu par un célèbre
– et insupportable – acteur américain d’origine italienne.
À ses questionnements d’artiste engagée, se mêlent
des angoisses d’ordre privé : sa mère est à l’hôpital,
sa fille en pleine crise d’adolescence.
Et son frère,
quant à lui, se montre comme toujours irréprochable…
Margherita parviendra-t-elle à se sentir à la hauteur,
dans son travail comme dans sa famille ? |
A côté de ça … Un certain regard |
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Le réalisateur Neeraj Ghaywan et son équipe montent les marches du théâtre Debussy pour la présentation de leur film |
Une équipe fort sympa. dont le film a reçu le prix de la Critique
Internationale de la Fédération Internationale de la Presse
Cinématographique, décerné le même jour que le prix du Jury
oecuménique dans la salle des Ambassadeurs
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Bénarès, la cité sainte au bord du Gange, punit cruellement ceux qui jouent avec les traditions morales. Deepak, un jeune homme issu des quartiers pauvres, tombe éperdument amoureux d’une jeune fille qui n’est pas de la même caste que lui. Devi, une étudiante à la dérive, vit torturée par un sentiment de culpabilité suite à la disparition de son premier amant. Pathak, père de Devi, victime de la corruption policière, perd son sens moral pour de l’argent, et Jhonta, un jeune garçon, cherche une famille. Des personnages en quête d’un avenir meilleur, écartelés entre le tourbillon de la modernité et la fidélité aux traditions, dont les parcours vont bientôt se croiser… |
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