Compagnie la Marelle

Ma vie avec Martin-Luther Kingde Jean Naguel, d'après le livre de Coretta Scott King

Coretta Scott King raconte sa vie avec son mari, leur amour, leur mariage, leurs enfants et puis surtout, l’engagement de Martin Luther King dans un combat de plus en plus dangereux, mais irréversible.
 
La tragédie de l’assassinat d’avril 1968 aurait justifié un récit marqué par la révolte, l’amertume. Coretta King a préféré prendre le chemin de la mesure et de la dignité : elle a voulu que soient partagés avec tous les joies et les peines, les espérances et les épreuves de quinze ans de vie avec un homme qui, entre tous, incarnait un idéal.
 
Le résultat est un récit qui est l’un des plus émouvants de tous les temps.
 
Durée: 1h20, sans entracte
Le public rétribue librement les artistes à la sortie

Compagnie la Marelle
– T.00 41 21 311 94 92 – Contact

 Tournée 2013 en PACCA

 

MARTIGUES – Vendredi 5 avril à 20h30, au temple, route de Saint-Pierre

SAINT-RAPHAEL – Dimanche 7 avril à 15h, au temple, 291 av.Lyautey

AIX-EN-PROVENCE – Mardi 9 avril à 20h, Salle Mambré, Maison diocésaine, 7 cour de la Trinité

AVIGNON – Mercredi 10 avril à 20h30, au temple, 2 rue Henri-Fabre

 

Tout le programme de la tournée en France sur Compagnie la Marelle

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Archives – Mai 2011

« Zakia et Rachel » Un espoir au pied du mur

Une présentation théâtrale de la Compagnie de la Marelle dans la région

 
VILLENEUVE-LEZ-AVIGNON Centre YMCA, 7bis ch. de la Justice, jeudi 5, 20h30
MARTIGUES Salle Prévert, pl. du 8 mai 1945, vendredi 6, 20h30
SALON DE PROVENCE Auditorium du CMAC, rue Aristide Briand, samedi 7, 17h30
LOURMARIN Temple, dimanche 8, 17h
 
Deux prénoms de femmes qui sont déjà le reflet de leurs deux peuples.
 
Zakia la Palestinienne et Rachel l’Israélienne vivent chacune d’un côté du mur. Mais elles franchissent ce mur parce que la solidarité pour elles est plus importante que la nationalité. Rachel vient de Jérusalem soigner les enfants dans les Territoires occupés. Zakia franchit le mur des préjugés, parce qu’elle sait que les larmes des mères sont les mêmes des deux côtés.
 
A travers le tumulte du conflit, les cris de révolte et les pleurs, nous avons entendu des rires de femmes et d’enfants, nous avons appris que des amitiés se nouent, et que des pacifistes oeuvrent inlassablement des deux côtés. Nous avons choisi cette pièce pour rendre hommage à ces artisans d’espoir dont on parle trop peu dans les journaux télévisés.
 
Une pièce d’Edith Cortessis

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